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naelle bassot
peintures
J’habite et je peins à Paris, et aussi dans un village de l’Yonne au bord du Serein.
Je travaille à l’huile des toiles presque toujours figuratives.
Je me suis initiée au dessin et à la peinture du modèle vivant auprès de deux peintres, Yanne Auguin rue de Pontoise, puis Myriam Boccara rue de Sévigné, dans deux ateliers de la ville de Paris, ouverts aux amateurs de tout âge et de tout niveau, débutants, ou élèves déjà bien avertis qui travaillaient autour d'elles.
Ma peinture est figurative, mais elle n'est pas réaliste. Au seuil de la perception, dans le même geste ce sont les sensations et des émotions, les douceurs sensuelles du vécu, les failles, les nouages du temps, et les vertiges de l’essentielle question : que suis-je ? qui s'enfouissent dans la matière colorée...
Je décide le format, la matière, la palette, puis il s’opère une alliance entre les sollicitations de la toile et les lacis étranges de l’imaginaire.
J’ai peint d’abord les corps des modèles, corps habités, chevelures, et nuances de la chair, puis j’ai cherché à évoquer la singularité, la liberté de la femme arrêtée dans l'instant de la pause, immobile sur la sellette, par des couleurs et des taches vivantes.
Parfois même, sur la toile, la femme modèle partait en cavale et devenait femme contrebasse, sorcière, femme aquatique ou femme roche…
Puis du Nu je suis passée aux Figures.
Au fil du temps j'explore encore des Paysages de roches, de galets, la coulée de l'eau et des cascades, la mer parfois, des intérieurs, des climats...
Je peins, et j'écris aussi.
Mes livres, de brefs récits, des nouvelles, ou des recueils dans lesquels j'associe des fragments d'écriture et des peintures, sont publiés à La Pensée Vagabonde dans la collection Le moindre geste.
Il arrive que des personnages ou des lieux se faufilent d’un livre à l’autre
ou se métamorphosent en une peinture...
Mon dernier livre, paru l'été 2024, évoque (mon) assez joyeuse rencontre avec la peinture.
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